Qui sommes-nous

Depuis…

La quatrième génération à reprendre le flambeau

Le 658, ce sont plusieurs établissements en un où se côtoie plusieurs types de clientèles.

– Une clientèle bar historique Pmu Fdj qui l’anime de façon quotidienne

– Une clientèle de brasserie les midis en semaine 

– Une clientèle de bar à vin pour des soirées musicales

Ce brassage de clientèle fait la typicité des lieux et nous essayons d’animer ce lieu dans le respect de nos valeurs.

Bienveillante avec la clientèle, l’équipe du 658 met tout en œuvre pour que le service soit de qualité.

Notre équipe se compose de 5 personnes :

-Damien, gérant. C’est une nouvelle aventure pour lui car il était dans le milieu de l’automobile jusqu’alors. Il se trouve des plus motivé pour faire briller cette affaire qui appartenait autrefois à ces aïeux.

-Lionel chef en cuisine. Il a plus de trente ans d’expérience dans la restauration et a été chef d’un grand bar à vin de Montpellier

-Yasmina chef de la restauration, elle a travaillé dans une grande brasserie parisienne

-Joy , serveuse motivée qui met tout en œuvre pour satisfaire les clients

-Lucas, apprenti en stage d’hôtellerie restauration 

-Anthony apprenti commis de cuisine

L’histoire avance et, avec elle, la saga Mezy ne cesse de se perpétuer. Pour rappel, après-guerre, Joseph avait racheté les galeries de Tréviers à Mme Rigail. Il fut remplacé par son fils André et son épouse Odile, avant que Roger n’y fasse un bout de chemin. Ainsi, le café des Sports devenu le Regor a été, de génération en génération, dans le giron de la famille Mezy. Toujours dans une ambiance d’échanges et de convivialité.

C’est avec une émotion forte, que l’on peut imaginer, que celui qui autrefois s’affairait derrière le comptoir a pénétré dans ce commerce, décor de ses jeunes et belles années. Une certaine fierté aussi, celle d’y adouber la 4e génération.

Ainsi, marchant sur les traces de son arrière-grand-père Joseph, arrive Damien. Un copilote international émérite, qui a longtemps évolué dans le monde de l’expertise, installé pour se faire à Paris. « Un milieu contraignant et restrictif dans une atmosphère de sinistre où je me sentais « étriqué ». D’autant que j’avais une envie forte d’entreprendre en revenant à Saint-Mathieu-de-Tréviers », indique celui qui, entre-temps, a fait la connaissance de Yasmina.

La jeune femme travaille dans un restaurant du 16e arrondissement, le Mathusalem, qui reçoit des salariés de France Télévision, de nombreux journalistes… « Une solide expérience où je me suis également rodée à la dégustation des vins. Notamment ceux du clos des Augustins, produits par le frère de Damien. C’est, d’ailleurs, lors d’une livraison que j’ai fait sa connaissance », précise Yasmina qui a vu l’amitié se transformer en une magnifique histoire d’amour d’où est née une petite Sofia.

Damien revenu définitivement sur ses terres natales, après avoir racheté l’affaire et avoir fait des travaux de rénovation et de restructuration (grande terrasse couverte à l’arrière du bâtiment), au vu de la vétusté des lieux, se retrouve à présent, avec son épouse, à la tête du 658, l’altitude du pic Saint-Loup que celui qui a fait de la compétition trail affectionne particulièrement.

Une brasserie bar à vins ouverte depuis la mi-juillet (en espérant que la crise sanitaire ne vienne pas trop contrarier leurs plans) qui propose également, outre le PMU, des jeux de paris sportifs, et de grattage, qu’ils comptent bien voir atteindre des sommets. Et d’autres projets fleurissent pour celui qui se destinait au départ à l’hostellerie de plein air.